accueil/home

 

Il y a trois mille ans, au pied des hautes-terres du Yémen à l'orée du désert, par la seule maîtrise des crues d'orage, de grandes cités naquirent des sables, entourées de palmeraies, de jardins et de vignobles. La plus connue d'entre elles était Marib, capitale d'un royaume sur lequel aurait régné la mythique reine de Saba, ville célèbre aussi pour ses oasis et sa digue, l'une des plus anciennes merveilles hydrauliques de l'Antiquité. Sur les murs d'enceinte, les piliers des temples, les façades des maisons, les rochers ou les pétioles de palme, les Sudarabes gravèrent leurs messages destinés aux dieux et aux hommes, dans une écriture simple et belle comme la naissance du jour.

Yémen

Barâqish, muraille sud
Sirwâh, enceinte semi-ovale, inscription de commémoration
Ma'în (Qarnaw), porte orientale
Barâqish, temple de Nakrah
Haiar Kuhlân (Tamna), porte sud
Naqb al-Hajar muraille sud de la ville
Barâqish, inscription sur la muraille sud
Ma'rib, digue, môle sud
Ma'rib, digue
Région de Ma'rib, arbre à Myrrhe
Naqb al-Hajar muraille sud
Sirwâh, propylée du temple d'Almaqah
Sirwâh, temple d'Almaqah
Barâqish, grande inscription du mur sud
Barâqish, vue de la muraille nord de la ville
Barâqish
Hajar Kuhlân, mur de soubassement du palais ou d'un temple
Hurayda (Madhâb)